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Pastilla aux fruits de mer.
10/03/2012 15:59
Ingédients (4 personnes)
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300g de calamars.
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300g de crevettes roses.
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300g de lotte.
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100g de champignons de Paris.
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200g de vermicelles de riz chinois.
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2 bottillons de persil plat.
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1oignon.
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2 citrons.
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50cl de fumet de poisson.
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2 cuillères à soupe de beurre.
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4 cuillères à soupe d’huile.
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5 à 6 feuilles de pastilla.
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1 cuillère à café de pistils de safran.
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3 oeufs.
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Paprika ( facultatif).
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Poivre.
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Sel.
Préparation
Epluchez la lotte, rincez-la à l’eau froide. Egouttez. Ciselez le persil et l’oignon. Décortiquez les cervettes blanchies 2min. Découpez en petits cubes lotte, calamars et cervettes. Resérevez
Pochez les calamars dans un fumet de poisson avec safran, sel, poivre et jus de citron. Rincez les chamignons sous l’eau froide. Coupez-les en lamelles. Ajoutez-les avec les vermicelles. Sur feu doux. laissez réduire 3 min.
Dans une grande poêle, faites chauffer l’huile et faites dorer l’oignon 2min. Ajoutez les cubes de lotte et de cervettes, et laissez sur un feu moyen 3 min en remuant avec une sparule.
Suapoudrez la lotte et les cervettes de persil finement haché et de paprika en poudre. le paprika est facultatif, il reléve fortement la prépation donc il sera employé selon les goûts.
Dans un bol, battez les oeufs comme pour une omelette. versez-les sur la lotte et les cervettes, et laissez réduire jusqu’à évaporation complète du jus
Etalez 3 feuilles de pastilla dans un moule beurré. Déposez la préparation, rabattez les feuilles, bordez-la pastilla. Recouvrez d’une autre feuille et de beurre fondu. Passez 20 min au four à 180°C.
Commentaire de rolbenzaken (10/03/2012 18:56) :
Salut Regis, voici mon menu:
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L'Artisanat Marocain.
10/03/2012 15:54
L’artisanat du maroc est d’une grande diversité. En fibres animales ou végétales, en bois, en métal, en argile ou en pierre, le produit de l’artisanat s’est toujours adapté à des motivations et des besoins culturels et usuels qui définissent sa réelle fonction et sa vraie valeur.
L’artisanat marocain et une histoire d’un savoir faire ancestral. Les premiers habitants connus du Maroc, les Berbères ont été les précurseurs dans le domaine de l’artisanat surtout dans le travail de la laine (tapis), le fer et l’argent (bijoux), ustensiles divers et l’argile (poterie). Après l’islamisation et la venue des Arabes, d’autres formes d’artisanat se sont développées : travail du cuivre (ustensiles divers, tables), du bois, de l’oseille, de l’alfa et de l’argile (poterie). Cet artisanat couvre pratiquement tout le Maroc et chaque région possède ses propres spécialités, tirées des matières premières qui s’y trouvent en abondance. Mais les villes les plus connues pour leur artisanat sont Fès (cuir, cuivre, argent, or, tissus), Marrakech (cuir, cuivre, tapis), Essaouira (bois, tapis, argent) et Rabat-Salé (poterie).
C’est incontestable richesse et d’une étonnante variété tant dans les formes, que dans les techniques et les décors. Cette richesse est rehaussée par la modestie des matériaux qui constitue cet art et qui sont puisés du milieu ambiant. La diversité des conditions climatiques, des ressources naturelles et les différentes civilisations du Maroc ainsi que le mélange d’influences avec les pays limitrophes,expliquent qu’elle a hérité d’une vaste gamme de spécialité artisanale.
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Tapis Marocains.
10/03/2012 15:52
Le tapis est un ouvrage textile décoratif, tendant un mur ou recouvrant un meuble ou le sol tissé manuellement, dont le décor est produit par des fils teintés de trame tassés de manière a cacher les fils de chaînes.
Carrefour des civilisations et terre de rencontre, le Maroc a été de tout temps réputée pour ses tissages. Grâce a la diversité ethnique de ses habitants berbère, arabe, africaine, musulmans d’Espagne, le Maroc est devenu l’un des leaders au monde dans la tapisserie.
Dans les différentes villes du Maroc, vous pouvons trouver des tapis de toutes formes et de toutes couleurs liés au style traditionnel de telle ou telle ville du maroc.
Ceux de Rabat, les plus célèbres au Maroc, ont d’habitudes sept couleurs et sont couverts de dessins aux significations magiques.
Ait ouaouzguit : ce tapis appartient a la tribu de la région de Taznaght, c’est le tapis du haut-atlas par éminence. Ils sont travaillée sur la laine du mouton et arrivent, le plus souvent, des motifs géométriques a losanges et de couleurs très variées.
Glaou : Sont très fins, est caractérisé des bandes nouées et de bandes tissées structurées en fenêtres.
Akhnif : résulte d’un tissage type tapisserie à l’image du kulim oriental
Bousbaa-chichaoua : est originaire de la ville de chichaoua a quelques kilomètres de Marrakech, dont la particularité de leurs style est le mélange de laine et de poils de chèvre.
Les tapis berbères : se reconnaissent parce qu’habituellement ils sont de laine longue et a points noués avec une petite préférence pour le rouge obtenu par la racine de la garance. D’autre type de tapis sont les Zemmoure, les Beni Ouarain, les Zain, les Marmoucha …
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Judor, Crusch, bierre la Cigogne.
10/03/2012 15:48
Des marques cultes lancées par les Brasseries du Maroc . Elles ont forgé notre imaginaire . Retour sur une des plus belles réussites de l’industrie marocaineAH… la Cigogne, Judor… beaucoup d’entre vous s’en rappellent certainement comme faisant partie de leurs souvenirs d’enfance. Jusqu’en 1997, date de leur retrait du marché, ces limonades ont tenu tête aux grandes marques internationales. Mais elles ont finalement succombé à la loi de la mondialisation. La fabuleuse histoire des «monadas» démarre au début du siècle dernier.
Flash back: nous sommes en 1929. La Brasserie Glacière Internationale (BGI), unique entreprise du genre au Maroc, lance des boissons fraîches non-alcoolisées, en plus de la bière qu’elle commercialise pour les colons français. Son objectif était d’élargir sa cible aux Marocains qui, de par leur religion, ne consommaient pas tous de l’alcool. Le brasseur dépose ainsi le brevet de sa première marque de Soft Drinks, Limonade la Cigogne. Avec son goût acidulé et sa texture gazeuse rafraîchissante, La Cigogne a cartonné auprès de toutes les couches sociales. La boisson était fabriquée à base d’un concentré ramené spécialement de France. La BGI, principal actionnaire des «Brasseries du Maroc», disposait de quatre unités d’embouteillage. La première est située sur l’avenue Pasteur à Casablanca et la deuxième à Fès près de la place Atlas et les deux autres à Tanger et Marrakech. Pour la petite anecdote, la boisson produite à l’usine de Fès était communément appelée «Lharcha» en référence à son emballage en bouteille de verre granulé.A l’époque, les usines d’embouteillage n’étaient pas uniquement dédiées aux limonades; mais produisaient également des barres de glaces qui servaient à maintenir les boissons et les aliments au frais en l’absence de réfrigérateurs. L’esprit marketing était alors présent dans le raisonnement de ces brasseurs français. Huit ans après le lancement de «La Cigogne», les dirigeants des Brasseries du Maroc ont développé une idée-pilote de soft drink qui consistait à utiliser les extraits d’agrumes pour fabriquer de la limonade. Ils ont installé une usine à Kénitra pour stocker les oranges du Gharb et en extraire le jus. Cette matière première servait de base pour la nouvelle boisson gazeuse «Judor» qui, elle aussi, allait devenir célèbre. Ce mélange entre le goût naturel des agrumes et la composition des soft drinks a fait un tabac partout au Maroc. La pulpe d’orange était d’ailleurs visible dans la bouteille de Judor qu’il fallait agiter avant de boire. Ce succès était conforté par des publicités réussies telles que «Judor, Joues d’or» ou bien «Judor, Jus d’or». Les limonades La Cigogne et Judor ont atteint leur apogée durant la décennie 70. Leur concept s’ancrait de plus en plus dans les habitudes de consommation de toutes les couches sociales. Elles tenaient d’ailleurs la dragée haute à Coca et Pepsi. Parallèlement à ces performances commerciales, le tour de table des Brasseries du Maroc allait connaître un changement radical. La loi de la marocanisation, entrée en vigueur au début des années 70, allait mettre fin à la présence de BGI au Maroc. La SNI avait racheté ses parts en 1974. La stratégie de développement instituée suite à ce rachat visait à renforcer la présence du groupe dans le segment des boissons gazeuses. C’est ainsi qu’en 1973, une nouvelle marque allait voir le jour. Il s’agit en l’occurrence de Youki qui suivait le même principe que Judor mais avec un goût différent. La marque va ensuite être déclinée en plusieurs variétés, dont notamment Youki Cola. Brasseries du Maroc n’allaient pas en rester là. En 1983, elles ont lancé la marque Gil dans ses versions Citron et Tonic.L’ascension remarquable de ces marques allait rapidement s’estomper suite à la conclusion en 1983 du partenariat entre Brasseries du Maroc et Coca-Cola. Le groupe marocain voulait associer son développement à des marques internationales de renom. Il a donc racheté deux des plus grands embouteilleurs Coca-Cola au Maroc: Socaboca à Casablanca et Sobogar à Kénitra. Cette conviction marquait le début de l’agonie des «monadas» marocaines. La Cigogne, Judor, Youki et Gil vont être progressivement retirés avant de disparaître du marché en 1997. Mais les commandes continuaient à affluer en dépit de l’arrêt de la production. Le partenariat entre Brasseries du Maroc et Coca-Cola allait aussi prendre fin. L’embouteillage des boissons gazeuses a été cédé à NABC, après le rachat en 2003 de la production de bière par le groupe Castel.Mais l’histoire a fini par se reproduire. Le groupe Castel, convaincu qu’il ne peut se limiter à la bière, a lancé dernièrement la marque Fairouz. Un soft drink non-alcoolisé à base de malte d’orge qui commence à prendre ses marques. Le raisonnement de la bonne vieille BGI était finalement bien fondé. Le brasseur est d’ailleurs de retour dans le capital des Brasseries du Maroc. Il a été, à son tour, racheté par le groupe Castel.
«La Cigogne. Ajiba!» «Brasseries du Maroc» était parmi les précurseurs de l’affichage publicitaire et même de la publicité télévisée depuis le démarrage de la télévision marocaine au début des années soixante. La génération de l’époque se remémore parfaitement les premières animations télé qui vantaient les mérites de la limonade «La Cigogne». Les spots présentaient notamment une cigogne chantant «Monada La Cigogne… Ajiba ! (magnifique)»
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La Zamita (Zmila) ou le sellou.
10/03/2012 15:42
La Zamita (Zmita) ou Le Sellou est un plat marocain très nutritif préparé à base de farine grillée mélangée à du beurre fondu, du miel, du sésame, de l’amande, etc. Ce plat est préparé pendant le Ramadan parce qu’il aide à jeuner dans la journée, et aussi pendant les fêtes de mariages et de naissances. On la mange avec la cuillère accompagnée du lait, café au lait ou thé à la menthe lors de la rupture du jeûn.
Ingrédients
* 1 kg de farine fine
* 250 g d’amandes émondées et frites dans 1/4 de litre d’huile d’arachide
* 500 g de graines de sésame grillées
* 1 cuillerée à soupe rase d’anis pilé
* 100 g de beurre
* 2 cuillerées à soupe de cannelle en poudre
* 300 g de miel
* 3 à 4 grains de gomme arabique pilés avec un morceau de sucre.
* 300 g de sucre en poudre
Préparation
Faire griller la farine dans une poêle en remuant continuellement jusqu’à ce qu’elle soit bien dorée et la passer au tamis.
Laver les grains de sésame et les griller de même que la farine.
Emonder les amandes et les faire frire à l’huile (1/4 de litre).
Mélanger sésame, amandes et sucre en poudre et passer au hache viande une fois.
Mélanger soigneusement avec la farine grillée, ajouter cannelle, anis et gomme arabique. Placer dans la “gsaâ”, (grand plat) et former un puits.
Faire fondre beurre et miel dans la même casserole et lorsque le mélange est chaud mais non bouillant, y adjoindre l’huile de friture d’amandes et verser, petit à petit, ce mélange encore chaud dans le puits formé tout en remuant pour que la farine absorbe le liquide.
Une fois le mélange homogène, dresser en cône dans un plat, bien tasser, saupoudrer avec le tamis, de sucre glace et décorer de quelques amandes émondées et frites à l’huile.
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